« Cordes cosmiques et dimensions supplémentaires dans l'étau du rayonnement fossile » |
Christophe Ringeval |
Du fait des énergies atteintes, la description correcte de l'univers
primordial s'appuie sur les théories de physique des particules telles qu'on les connaît des accélérateurs. Celles-ci suggèrent que notre univers pourrait posséder, encore aujourd'hui, des propriétés "exotiques" comme l'existence de cordes cosmiques ou la présence de dimensions supplémentaires. Après avoir rappelé leur nature physique, ainsi que le cadre théorique motivant leur présence, je montrerai comment il est dorénavant possible de prédire l'influence de ces objets sur les anisotropies du rayonnement fossile (CMB). Inversement, les mesures actuelles de ces anisotropies sont autant de contraintes supplémentaires sur la physique à l'œuvre dans l'univers primordial. |
jeudi 24 avril 2003 - 11:00 Salle Entresol Daniel Chalonge, Institut d'Astrophysique de Paris |
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