Une vue du VLT. Crédit : ESO/H.H. Heyer
Les chercheurs de l’IAP sont de grands utilisateurs, et les chercheuses de grandes utilisatrices des observatoires astronomiques, au sol et dans l’espace. Au sol, ce sont l’Observatoire Européen Austral (ESO) avec le « Very Large Telescope » (VLT) au Chili, le télescope Canada France Hawaii (TCFH) à Hawaii, l’Institut de Radio Astronomie Millimétrique (IRAM, en anglais) en France et en Espagne, et l'Observatoire de Haute-Provence en France (OHP) ; et dans l’espace, les télescopes spatiaux Hubble, XMM/Newton, Spitzer, Herschel et Planck. Depuis plusieurs années, on constate une évolution marquée des programmes d’observations vers une approche multi-longueur d’onde, combinant des observations couvrant une grande partie du spectre électromagnétique, ainsi qu'une augmentation de la taille des échantillons observés. Ces programmes nécessitent de longues observations, représentant une fraction notable du temps d’observation disponibles sur ces observatoires. Cette évolution nécessite la mise en place de groupes internationaux faisant des propositions d’observations multiples sur de nombreux télescopes pour un même enjeu scientifique. Les chercheuses et chercheurs de l’IAP sont des membres importants, voire les responsables de plusieurs de ces programmes. On les dénomme selon le cas « Large Programme », « Key Programme » ou « Legacy Programme ».
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